Festival du Film du Caire: 27 nouveaux films internationaux participent à la 41e édition

Chaïmaa Abdel-Ilah Mardi 22 Octobre 2019-14:55:33 Art
Une scène du film
Une scène du film "The Pencil" De Natalya Nazarova de Russie

Le président du Festival international du Film du Caire (FIFC), Mohamed Hefzi, a annoncé que la 41e édition, qui ouvrira ses portes en novembre, accueillera 27 nouveaux films internationaux : 20 longs métrages et sept courts métrages, une grande première de l'histoire de ce Festival dont il se félicite. M. Hefzi a ajouté que ce chiffre augmenterait probablement avant l’ouverture, ce qui témoigne de la réputation du Festival en tant que plate-forme internationale pour les nouvelles voix du cinéma.

Hefzi a réitéré son engagement à faire progresser ce département, en activant le rôle du FIFC en tant que moyen permettant aux amateurs du cinéma en Egypte de découvrir de grands films qui leur sont  inconnus et de soutenir le cinéma arabe. 

Le directeur artistique délégué du FIFC, Ahmed Shawky, a quant à lui insisté sur le fait qu'un événement de la taille et de la portée du FIFC ne pouvait pas rester un "festival de festivals", ne projetant que des films déjà connus, mais nécessite à côté de ce rôle de présenter de nouveaux titres au monde. Raison pour laquelle l’équipe de programmation a cherché à obtenir le plus grand nombre de films de première qualité possible afin de les projeter parmi les 150 films, dont la plupart feront ainsi au Caire leur première dans la région du Proche Orient.

Quant aux films participant au Festival, citons entre autres: «La forme des heures» de Paula de Luque (Argentine), «Mozart Recycled» de Victoria Piczman et Britta Schoening (Allemagne), «The Hypocrites» de Carlos Ignacio Trioni (Argentine), «The Pencil » de Natalya Nazarova (Russie), « US parmi les pierres» de Dictynna Hood  (Royaume-Uni), «Une mélodie d'aucun à midi» de Carols Adriano (Brésil), «Castaway» de Simon Koudela (République tchèque), «Home Far Away» de Dimitar Kutmanov (Bulgarie), «Gusts of Wild Life» de Jorge Cantos (Espagne) et «My Dead Father: A Comedy» de Roberto Porta (Argentine).

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